« Être vidéaste de mariage, c'est travailler sur des projets de vie, capturer de vraies émotions et raconter de véritables histoires. Je ne m'ennuie jamais, je redécouvre chaque lieu de réception, que ce soit un château ou sur la plage, en fonction de la lumière, de la saison, chaque histoire et chaque mariage est unique. Et puis je garde en tête que j'ai la responsabilité de fabriquer un des rares souvenirs qui perdurera au fil des années. C'est très enrichissant et très motivant ! » - Louis-Nicolas Chosseler. Installé en Champagne-Ardenne, Louis-Nicolas Chosseler réalise des films de mariage aux quatre coins de la France et même au-delà, notamment en Belgique, au Luxembourg, en Allemagne, en Suisse, et en Italie. Diplômé de l'École Supérieure de Réalisation Audiovisuelle à Paris, il a aussitôt travaillé en tant qu'assistant réalisateur, puis assistant de production et directeur de production. Après une riche expérience audiovisuelle de plus de 10 ans, il se met à son compte en devenant vidéaste indépendant spécialisé dans le secteur du mariage depuis 2015. En tant que vidéaste de mariage indépendant, il travaille seul ou en équipe selon le projet. Très investi, il est à l’écoute de ses clients : « Je propose des prestations haut-de-gamme et ainsi je me concentre sur la qualité, plutôt que sur la quantité. J'échange avec mes mariés, je m'implique et m'applique beaucoup pour donner du sens aux images et raconter des histoires de vies. Chaque mariage est différent et ma principale source d'inspiration, ce sont mes mariés. J'ai la chance d'être de plus en plus sollicité sur des projets pleins d'émotions, grandioses, ou encore atypiques. » affirme-t-il.
Quel style de vidéos pratiquez-vous ?
C’est très important de réaliser des films de mariage authentiques et singuliers en capturant des parcelles de vie, des émotions, en restant attentif et à l’écoute pour saisir des détails, des regards, des sourires. Pour le rendu visuel, il faut donner du sens aux images, avoir un oeil artistiques et utiliser des codes cinématographiques.