Le métier de voyance, bien qu’il puisse attirer, n’est pas donné à tout le monde. Et c’est le cas de la dire car pour pouvoir l’exercer, il faut en premier lieu être doté de ce « don » qui permet de lire l’invisible et de le retranscrire dans le monde visible.
Judith Fricot est justement voyante. Travaillant comme médium depuis plus de 25 ans, elle a découvert son don à l’âge de 12 ans. A la naissance de sa fille, elle a décidé d’en faire son métier après un parcours en tant que directrice d’agence et dans l’immobilier. Ayant opté pour sa passion de voyance, elle. Travaille aujourd’hui seule.
Compétente dans la médiumnité directe, elle est beaucoup intéressée par l’écriture automatique qui fait souvent l’objet de ses conférences ou formations qu’elle donne en salon ou en ligne. Motivée par l’idée d’aider les autres, de transmettre sa passion, son expérience et de démontrer que la voyance est un outil formidable lorsqu’il est utilisé à bon escient, elle déplore cependant le fait qu’elle doit faire face à des personnes sans scrupules qui décrédibilisent son beau métier.
j’ai découvert très tôt ce ressenti un peu plus développé chez moi que chez d’autres, je ressentait les décès, les feux qui allaient se déclencher, les événements. Je intéressée au spiritisme, je lisais amityville, poltergeist, j’étais attirée par tout ce qui pouvait concerner l’au-delà.
Les outils que j’utilise sont principalement la voix du consultant, grâce à plus de 15 ans d’expérience en voyance en directe sur les ondes radio, j’ai développé ce contact avec la voix du consultant, c’est pour moi une vibration sur laquelle je me cale qui me permet de rentrer en médiumnité avec lui. J’utilise également des cartes pour surtout obtenir des précisions, et dater les événements, j’ai d’ailleurs créé mon propre tarot « le judimancien ». Une consultation se déroule par téléphone ou à mon cabinet situé maintenant à Nivillac dans le Morbihan, après avoir consulté plus de 25 ans en Picardie, un lieu très chargé en énergies qui me correspond très bien au coeur de la nature. Je traite chaque domaine en détail, je ne pose pas de question hormis le nom de la personne ou d’une société. J’essaye d’apporter le plus de précisions possible, dans la limite de mes capacités. Je ne parle pas de la mort, je ne fais pas les contacts défunts. J’estime que chacun doit rester dans son monde que l’on ne doit pas les importunés, il m’arrive cependant parfois que l’un d’entre eux désire transmettre un message alors j’offre celui-ci à mon consultant.
En générale les personnes consultent pour leur avenir sentimental, professionnel, un déménagement mais aussi une question de santé je précise alors que celle-ci est bien un regard médiumnique et j’oriente la personne quand cela me paraît nécessaire vers un professionnel. Je demande à ce que l’on respecte un délai de 6 mois entre deux consultations, je suis contre les consultations à répétition, cela ne sert à rien il faut attendre que les événements se produisent avant d’entamer une nouvelle recherche sur son avenir.
La voyance ne doit surtout pas devenir une addiction. Notre rôle dans cette société et celui d’accompagner les personnes, de les aider à voir plus clair en leur avenir. Nous ne sommes pas là pour leurs dicter leurs choix, nous devons donner les éléments en notre possession sur leur chemin de vie, à eux ensuite de les transformer un peu ou pas. Nous pouvons apaiser les peines, les angoisses, je dis tout le temps cette belle phrase « connaître son avenir pour mieux le maîtriser ». C’est ma devise.
Ayant une la chance de découvrir son don très tôt et dans faire sa passion avant d’être son métier, Judith a ainsi commencé par nous expliquer comment elle a découvert son don pour la voyance. Elle nous a ensuite parlé des outils de travail d’un voyant et de la manière dont se déroule une consultation avant d’enchaîner sur les questions pour lesquelles on la consulte généralement pour ensuite terminer sur le rôle du médium dans la société.
Pour en savoir plus : http://voyance-allojudith.com/
