Annie Coupet est une avocate de 37 ans. Elle a prêté serment en 2007 et a exercé comme associée dans un cabinet généraliste jusqu’en 2018. Elle a fondé le cabinet Maya en Normandie en 2019. Elle y exerce deux professions complémentaires: celles d’avocat et de médiateur.
Ma structure étant à taille humaine, la relation directe est privilégiée. Ce qui ne m’empêche pas d’utiliser les outils de communication modernes en fonction des besoins et attentes des clients.
L’impératif d’une résolution sereine des conflits me guide, je tiens à « faire avec » mes clients, en les accompagnant dans une optique de responsabilisation et de collaboration.
L’objectif est parfois de sortir du « triangle dramatique » : il ne s’agit pas d’attendre passivement une solution qui viendra de l’extérieur (le juge). Via les modes amiables, j’incite à une vraie collaboration où le client sera acteur de la résolution de ses difficultés.
J’ai une vaste expérience du contentieux, ayant pratiqué pendant pendant plus de 10 ans mon métier d’avocat exclusivement dans l’arène judiciaire.
Les batailles judiciaires ne font pas cesser la guerre, et au contraire dégradent profondément les relations … J’ai constaté que cela était parfois délétère pour mes clients usés et lassés par les procédures. Cela est encore plus nocif dans la sphère familiale notamment lorsque des parents doivent exercer l’autorité parentale après leur séparation dans l’intérêt de leurs enfants.
Je me suis donc formée dès 2016 pour obtenir mon diplôme de médiateur de l’Institut de formation à la médiation et à la négociation (IFOMENE).
Praticienne de la méthode collaborative en droit de la famille, je privilégie dans ma pratique d’avocat la conclusion d’accords et le rapprochement amiable des parties. Dans ma boîte à outils, je dispose d’une pratique des modes amiables de règlement des différends familiaux (écoute empathique, négociation raisonnée, pratiques inspirées de la Communication non-violente (CNV), de la Programmation neurolinguistique (PNL), etc.)
Ces méthodes sont bénéfiques pour maintenir les liens, favoriser la coparentalité dans les couples séparés, et maintenir une entente familiale dans les conflits relationnels avec les ascendants ou les fratries (succession par exemple).
Ce que mes clients attendent, c’est souvent une solution respectueuse des droits et de la place de chacun, et qui intervient rapidement, en faisant l’économie d’un combat judiciaire. Les outils des modes amiables les aident à trouver un accord sur mesure.
Engagement – Proximité – Transparence – Accessibilité
Je constate que la crainte du coût de la prestation de l’avocat a la dent dure, certainement en raison d’une ancienne culture de relative opacité.
Certains ont aussi de l’avocat l’image d’une personne distante, froide, voire arrogante.
A titre personnel, je souhaite que mes clients soient parfaitement à l’aise dans mon cabinet. L’empathie n’est pas incompatible avec un traitement professionnel des dossiers, bien au contraire.
Derrière l’accessibilité, je place le soin d’éviter le jargon incompréhensible et de pratiquer des tarifs raisonnables et souples.
Lors de l’entretien de découverte, il est essentiel de s’assurer que la relation de confiance puisse naître lors de cette rencontre. C’est la raison pour laquelle j’ai à cœur que cet entretien de 20 minutes environ soit libre et sans engagement.
J’expose mes modalités d’intervention en fonction de la difficulté, en forfaitisant dans la mesure du possible pour répondre au besoin de prévisibilité des clients. Pas de surprise. La transparence est de mise. Une convention d’honoraires est établie et des facilités de paiement peuvent être consenties.
Sur demande, un dossier d’aide juridictionnelle peut être établi en fonction des ressources, ou une demande de prise en charge via l’assurance de protection juridique.
Un grand merci à Annie Coupet qui nous a donné quelques informations sur son activité d’avocat. Si vous avez aimé cet article et que vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à faire un tour sur son site maya-avocats.fr !