On nous demande très souvent de ne pas abandonner nos rêves. De nous y accrocher comme si nos vies en dépendaient. Même si cela n’est pas si évident pour tout le monde il y a que la vie trouve parfois un moyen détourné pour nous aider à les réaliser. C’est ce qui est arrivé à Clarisse Guerné.
Elle a toujours voulu faire médecine, mais a dû s’orienter vers l’ingénierie. Elle démissionne pour s’occuper de sa famille se rendant compte que sa profession ne lui convenait pas. C’est dans sa quête d’une méthode pour s’apaiser qu’elle va découvrir la sophrologie. “Puis une rencontre m’a amenée vers le Dr Rodà, directeur de l’école de sophrologie caycédienne de Mulhouse qui m’a acceptée dans son école”, précise t-elle.
Elle va se faire former pendant deux ans pour enfin créer son entreprise en 2009. “Étant par ailleurs adjointe au maire chargée de l’enfance et la jeunesse, j’interviens régulièrement auprès des enfants, en classe ou en périscolaire”, ajoute t-elle.
Les difficultés croissantes rencontrées par nos enfants dans cette société toujours plus exigeante m’ont amenées à suivre une formation avec Natalia Caycedo (fille du Pr Caycedo, fondateur de la sophrologie caycédienne) intitulée « valeurs, études et sophrologie ». Cette formation m’a beaucoup apporté dans ma pratique avec les jeunes et j’ai le bonheur de l’appliquer dans un collège depuis 3 ans où j’interviens dans toutes les classes. Les professeurs qui ont suivi quelques séances prennent ensuite le relais. Un superbe outil pour calmer, recentrer les jeunes.
Je n’ai cependant pas de domaine de compétence spécifique : femme enceinte (j’ai vécu ma deuxième grossesse au cours de ma formation), maladie de Parkinson, burn out, simple envie de mieux gérer le stress, phobie, … chaque rencontre est une nouvelle découverte, une nouvelle alliance qui se fait, qui m’enrichit humainement et m’apprend toujours quelque chose sur moi. Je suis également titulaire du titre de « master spécialiste en sophrologie caycédienne » et du premier cycle de sophrologie ludique : se former régulièrement, échanger nos pratiques avec des collègues sont pour moi des points très importants pour pouvoir évoluer dans notre profession.
Ma technique de sophrologie caycédienne préférée est la plus simple : une simple sophronisation de base avec une respiration abdominale redécouverte fait toujours des miracles ! J’ai toujours en mémoire le cas de cette femme qui est venue me voir, clouée par des douleurs abdominales terribles depuis 3 ans et qui a fait tous les examens médicaux possibles. On apprend ensemble comment respirer, comment relâcher les tensions du corps. Elle repart avec l’enregistrement de l’exercice (qui dure environ 10 minutes) et revient 3 semaines plus tard en m‘annonçant, heureuse : « je me suis entraînée 2 à 3 fois par jour ; je n’ai plus mal ! Je me demande si ça vaut le coup que l’on continue ! ». Elle a quand même souhaité découvrir d’autres exercices, mais aucun ne lui a apporté autant que le simple exercice du début.
La sophrologie caycédienne s’adresse à tous : enfants, adolescents, adultes jusqu’aux personnes âgées. C’est au sophrologue de s’adapter aux personnes qui viennent le voir !
Mon tarif varie de 40 à 70€, avec une moyenne de 50€ par séance.
Un grand merci à Clarisse Guerné qui nous a donné quelques informations sur son activité de sophrologue. Si vous avez aimé cet article et que vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à faire un tour sur son site sophrologie-huningue.fr !