Immortaliser et mettre en valeur des instants de la vie, faire des rencontres… En tant que photographe culinaire à Cholet, Lisa Cassiaux se considère un peu comme une créatrice de souvenirs. Elle aime créer, raconter une histoire et offrir des souvenirs incroyables à ses clients. Nous lui avons posé quelques questions.
Lisa est autodidacte et passionnée par la photographie depuis toute petite. Elle a décidé de se lancer en tant que micro-entrepreneur en avril 2018 en parallèle de son activité de secrétaire médicale. Elle souhaiterait à terme développer la photographie pour pouvoir vivre un jour de sa passion.
Elle fait principalement du portrait et des mariages, mais aimerait développer la photographie culinaire, car la cuisine est sa deuxième passion ! Si elle travaille seule pour le moment, Lisa peut compter sur le soutien sans failles de ses proches. Elle a pour objectif à l’avenir d’élargir ses collaborations auprès d’entreprises et de projets toujours plus créatifs !
Mon style est plutôt naturel, original et spontané. J’aime que l’émotion soit au cœur de mes photos. Je travaille principalement en lumière naturelle, sauf lors des soirées, où l’utilisation d’un flash est nécessaire pour un meilleur rendu.
J’affectionne tout particulièrement mettre en valeur mes modèles et les créations originales. Pouvoir faire ressentir l’émotion d’un instant, pour que cette image soit la plus authentique.
J’ai toujours travaillé avec les boitiers Nikon. Actuellement j’utilise 2 boitiers, le Nikon D5600 et le Nikon D7500. J’utilise différents objectifs, mais principalement un 18-140 mm, qui me permet d’avoir une large possibilité de zoom et également un 35 mm, focale fixe, surtout pour les photos de portrait.
Je suis complètement autodidacte. Je n’ai jamais suivi de formation dans la photographie, c’est avant tout une passion, je fonctionne beaucoup à l’instinct.
Joker, par chance, j’ai toujours le soleil avec moi ! Et sinon, je fais appel à mon improvisation et ma capacité d’adaptation, je trouve toujours un moyen pour réaliser des clichés naturels, spontanés, tout en gardant un maximum de lumière naturelle.
Mais le parapluie peut-être aussi un très bon accessoire de romantisme. Des mariés pris en photos sous un parapluie donne un côté très romantique et élégant, d’autant plus s’il est transparent, laissant voir les gouttes d’eau coulant dessus.
Je réalise les prises de vue des plats à la lumière naturelle. La lumière diffusée à travers la fenêtre permet de produire des ombres douces. J’accorde aussi une attention à la profondeur de champ, qui est très importante en photographie culinaire. C’est l’ouverture du diaphragme de l’objectif de l’appareil photo qui agit sur la profondeur de champ. Ainsi plus l’ouverture du diaphragme est grande, plus l’arrière plan est flou. La photo qui sera faite fera ressortir l’objet ou le plat en premier plan.
Ce qui est également important, à mon sens, c’est de prendre un plat sous différents angles. Les photos en “vue du dessus” sont très en vogue en ce moment et donnent un côté assez original au rendu de la photo.
Ensuite, j’aime beaucoup donner du mouvement et de la vie à la photo, laisser apparaître des mains sur la photo ou encore quelques gouttes, des miettes autour de l’assiette… Cela permet de dynamiser les photos du plat.
Pour résumer les points plus importants lors d’une séance culinaire sont :
Un grand merci à Lisa Cassiaux qui nous a donné quelques informations sur son activité de photographe culinaire. Si vous avez aimé cet article et que vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à faire un tour sur son site lisacassiauxphotographies.com !