Vivant en zéro déchet depuis 2014, j’ai à coeur d’essayer d’exercer le plus possible dans des domaines les plus proches possibles de mes convictions. C’est donc naturellement que je me suis formée en droit rural et de l’environnement”.
C’est en 2015 que cette aventure démarre véritablement pour Chloé Schmidt-Sarels. Après des expériences en collectivité territoriale puis en entreprise, aujourd’hui elle gère son propre cabinet. Elle travaille avec une assistante nommée Charlotte et il lui arrive aussi de recevoir des stagiaires.
Ma formation est de droit public. Au départ, j’envisageais d’être fonctionnaire et j’ai réussi le concours d’attaché territorial. Puis j’ai passé le CAPA. Au début de mon installation comme avocate, j’ai choisi de me former en droit de l’urbanisme et de l’environnement, ainsi qu’en droit rural.
Les clients qui me sollicitent peuvent me poser des questions par différents biais (téléphone, internet, rendez-vous physiques). Une convention d’honoraires viendra encadrer cette entrevue, dans le respect des règles déontologiques de notre ordre.
Transparence, compétence et confiance. Je suis la plus transparente possible sur mes honoraires, dès le premier rendez-vous. J’ai choisi d’exercer en droit public et je prends tous les dossiers qui me sont confiés avec conscience. C’est ma compétence en droit public que je mets au service du client, et c’est ce qui crée la confiance entre nous.
A contrario, il m’arrive très régulièrement de ne pas prendre des dossiers qui touchent à du droit qui n’est pas dans ma sphère d’intervention. Afin d’assurer le meilleur traitement possible de l’affaire du client, j’oriente alors ce dernier vers un confrère compétent en la matière.
Un grand merci à Chloé Schmidt-Sarels qui nous a donné quelques informations sur son activité d’avocate. Si vous avez aimé cet article et que vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à faire un tour sur son site css-avocate.fr !