Diplômée d’étude de gestion des entreprises puis de l’école des avocats de Marseille en 2010, Maître Sandrine Ott Raynaud s’inscrit au barreau de Toulon et ouvre son propre cabinet. Cette avocate généraliste est surtout sollicitée en droit des contrats, du travail et de la famille.
Après quelques années d’exercices, grâce à son professionnalisme et ses succès judiciaires elle s’adjoint une excellente juriste et un talentueux avocat collaborateur (ses ex stagiaires) pour un travail d’équipe. Pour augmenter son champ d’activité, elle a instauré depuis peu un partenariat avec une avocate en droit public et contentieux de l’urbanisme.
En marge de son activité professionnelle, Maître Sandrine Ott Raynaud enseigne le droit à l’université de Toulon et ainsi transmet ses compétences dans l’application des innombrables textes de loi pour en tirer le meilleur parti de manière équitable et humaine.
1. Proposez-vous des consultations en ligne ?
Oui, c’est essentiel aujourd’hui. Depuis la crise sanitaire, on a dû s’adapter à cette situation inédite et avons mis en place la possibilité d’effectuer des consultations en ligne. Bien sûr, si les clients souhaitent être reçus à notre cabinet, actuellement c’est possible mais uniquement sur rendez-vous en respectant les gestes barrières.
2. Si je souhaite divorcer, dois-je faire appel à un avocat spécialisé en divorce ou en droit de la famille ?
C’est presque pareil. N’importe quel avocat généraliste peut effectuer une procédure en divorce, dès lors qu’il pratique la matière régulièrement, et qu’il s’y intéresse. Sauf si le divorce est très complexe et contentieux au niveau de la liquidation du patrimoine, il n’est à mon sens pas nécessaire de faire appel à un spécialiste.
3. Quels sont les critères à prendre en compte avant d’engager un avocat ?
Ces critères sont propres à chacun : certains vont privilégier la disponibilité ou la proximité géographique, d’autres le coût des honoraires, l’expérience ou la réputation. Je pense que le coût des honoraires d’un avocat n’est pas un gage de compétence, mais je n’ai pas de conseil à donner sur les critères à privilégier.
4. Un avocat peut-il prendre mon dossier en charge sans entamer de procédure judiciaire ?
Oui, surtout que les dernières réformes obligent de plus en plus l’avocat à entamer des procédures amiables avant toute procédure. L’avocat peut donc intervenir pour négocier, discuter, tempérer et surtout conseiller. Je privilégie toujours la solution amiable et n’entame pas de procédure quand j’estime qu’elles ont peu de chances de succès, ou si un échec serait trop difficile à accepter pour le client.