La lecture du livre « Le pouvoir du moment présent » ainsi que la pratique de la médecine chinoise et du massages de bien-être ont beaucoup aidé Nicolas Anastassios à se construire personnellement. À 36 ans, il accompagne aujourd’hui ses clients dans un travail de libération intérieure et d’écoute de soi.
L’accompagnement qu’il propose a pour but l’acheminement intérieur et la libération de la souffrance émotionnelle.
L’idée est de travailler sur soi, d’apprendre à se reconnecter à son espace intérieur et se maintenir de plus en plus dans cet état de présence.
Nicolas privilégie l’outil Skype pour le travail individuel avec ses clients et souhaiterait mettre prochainement en place des ateliers de groupe. Localement dans un premier temps, puis à plus grande échelle par la suite.
Ayant moi-même été impacté dans ma jeunesse par des émotions difficiles, d’abord pris par une anxiété quasi permanente quand j’étais au collège et au lycée, puis ensuite par des crises d’angoisses quand j’étais étudiant… Je me suis alors intéressé à la méditation avec pour objectif de trouver la paix intérieure, puis à la médecine chinoise que je voulais utiliser pour me guérir.
Il a fallu que j’aille au bout de ce processus en faisant un cursus de médecine chinoise et en ouvrant un cabinet pour enfin me rendre compte que je ne voulais pas soigner les autres, mais plutôt les accompagner dans leur cheminement intérieur.
Je n’utilise pas d’équipement particulier dans la mesure où je propose une approche d’écoute plutôt qu’une technique, ce qui ne nécessite pas de posture particulière et donc pas de matériel.
Cependant j’ai une amie qui est enseignante de yoga, et j’aime beaucoup son matériel que je trouve beau et de bonne qualité. La marque qu’elle utilise est Chin Mudra.
J’ai beaucoup travailler avec l’insomnie, l’angoisse, l’anxiété, la dépressions, le stress et la colère. J’ai souvent eu des résultats intéressants sur les émotions fortes, procurant un soulagement rapide et donc le retour à une vie quasi normale, mais les émotions de plus faible intensité nécessitent un travail à plus long terme, et donc à mon sens un « travail sur soi ».
Les avantages sont tout d’abord la puissance énergétique du groupe, qui augmente l’intensité et la profondeur des effets.
Ensuite, l’autre intérêt est l’effet miroir que chacun se renvoie (moi y compris puisque que l’on est toujours en cheminement), ce qui nous permet de mettre en évidence des schémas émotionnels inconscients. Cependant, je me retrouve limité quand je veux faire un travail plus approfondi avec une personne qui me partage son vécu, d’une part parce que j’aime bien que chacun prenne la parole (on a donc un timing limité), et d’autre part parce que certaines personnes ont du mal à exprimer leurs émotions devant tout le monde. Je retrouve moins cette problématique quand je propose un atelier d’une journée, car après quelques heures passées ensemble le groupe est plus détendu et plus ouvert. C’est pourquoi j’envisage à plus long terme des sessions de deux à trois jours.
Une autre limite que je rencontre vient du mot lui-même de « méditation ». Chacun arrive en effet avec sa conception de ce qu’est ou devrait être la méditation, attachant parfois une importance excessive aux concepts si bien que l’on se perd dans du « démêlage intellectuel ». C’est pourquoi j’utilise de moins en moins ce mot, ainsi que d’autres concepts qui sont devenus trop limitants et emprunts de clichés.
D’autres personnes ont tout simplement du mal à entrer dans ce que je propose parce qu’elles sont trop attachées à une posture ou à une technique particulière, mais cela est moins problématique en soi.
Selon Nicolas, son accompagnement est avant tout un travail d’écoute de soi, ou plutôt une démarche, qui vise à accueillir tout ce qui vit en nous (émotions, sensations, tensions, douleurs…) et à nous accepter profondément. Cela conduit à la libération et à la transformation de la souffrance émotionnelle et nous permet de nous sentir de plus en plus en accord avec nous-même.
Pour en savoir plus : www.guerisondelame.fr