Maître Jessy Farrugia a prêté serment devant la Cour d’appel du Palais de justice de Paris, en tant qu’avocate généraliste, ayant pour activités dominantes le droit de la famille et le droit du travail. Elle exerce à titre individuel, par choix, car elle aime avoir la maîtrise totale de ses dossiers.
Dans son cabinet, Maître Jessy Farrugia reçoit ses clients et les aide à résoudre leurs problèmes. Elle voit son métier comme une vraie vocation. En effet, le désir de devenir avocate lui est venu très tôt, à l’âge de 11 ans, à la suite de la lecture d’un livre où un avocat avait réussi à convaincre une Cour d’Assises de l’innocence d’une personne que tout accusait.
Depuis, Maître Jessy Farrugia n’a jamais voulu faire un autre métier, et croit qu’elle serait même incompétente dans un autre domaine. Elle exerce ce métier par passion et par amour des autres. Le fait de les aider à résoudre leurs problèmes lui procure une satisfaction intérieure indicible.
Pour ma part, j’ai pratiqué l’aide juridictionnelle pendant longtemps, mais j’ai arrêté récemment car la rétribution financière de l’État n’est pas à la hauteur des prestations fournies, et au fur et à mesure que l’avocat acquiert de l’expérience, la pratique de l’aide juridictionnelle devient contre-productive sur le plan économique pour le cabinet.
Actuellement, je ne pratique donc plus l’aide juridictionnelle, ou du moins pour l’instant. Néanmoins, je peux parfois faire exception à cette règle. En revanche, je peux tout à fait proposer des facilités de paiement à certains clients pour le règlement de mes honoraires.
Cela dépend de l’urgence de la situation sur le plan juridique ou judiciaire. Cela peut donc être le jour même au besoin. Sur un plan pratique, le délai moyen est de 24 à 48 heures car les justiciables sont toujours en urgence sur le plan moral et / ou psychologique. Ils ont à cœur que leur dossier soit traité rapidement.
Pour le justiciable, je conseille de choisir un avocat avec qui il pourrait ressentir, au travers des échanges, une compétence en sa matière, un avocat qui pratique des honoraires à la mesure de ses spécialités ou compétences. Mon conseil est le même pour tous les cas, qu’il s’agisse d’un avocat du droit du travail ou d’un avocat pénaliste.
À mon sens, le critère le plus important est de ressentir que l’avocat choisi pourrait être parfaitement son porte-parole. Je veux dire par là qu’il faut qu’il y ait une bonne entente mais aussi une relation de confiance qui se crée entre l’avocat et le justiciable.
Bien évidemment. Les prestations d’avocat demandent un travail de cohésion et de confiance entre mon client et moi-même. Les échanges avec mes clients sont naturellement couverts par le secret professionnel. Ce secret permet aux justiciables de se confier en toute sécurité et sérénité.