“J’estimais qu’il existait TELLEMENT de traitements alternatifs pour moultes pathologies, et puisque je le savais, je ne pouvais exercer un autre métier… celui-ci me paraissant SI intéressant!”
Ainsi, Natacha Hammond Lacroix est devenue naturothérapeute. Mais elle ne pratique pas que cette discipline; elle est aussi et surtout iridologue, phytothérapeute, homéopathe et aromathérapeute.
Elle pratique depuis une dizaine d’années déjà. “Je pratique en cabinet, j’utilise l’Iridologie et aussi l’Analyse Qualitative Sanguine Vivante (G.E.B.A) comme techniques diagnostiques spécifiques…’, nous laisse t-elle entendre.
Ayant eue la chance de grandir dans une famille où à la moindre petite blessure ou aux premiers signes d’enrouement, ma mère nous administrait, pommade, granules, comprimés, sirops, tisanes, et parfois même cataplasmes! Un bel arsenal thérapeutique, naturel et efficace! En ce sens, il m’était impossible de choisir, le moment venu, un métier à vocation médical, tel je le souhaitais, sans pencher pour un domaine qui alliait parfaitement, connaissances médicales vraies et traitements naturels ancestraux. La Naturopathie, était LA carrière qu’il me correspondait le plus! J’ai donc entamée mes études, ayant la chance de recevoir, dès le départ, une formation médicale sérieuse, basée sur l’anatomo-physio-pathologie, pendant plus de 3 ans, à l’Institut en Recherches Naturopathique de Montréal. Puis j’ai étudié plus spécifiquement, et ce pendant plusieurs années, la Phytothérapie, l’Homéopathie, l’Aromathérapie, et enfin l’Iridologie, avec de grands professeurs, dont le réputé, ici, Dr. Dominique Lacroix…
Il est tout à fait possible de réaliser un examen Iridologique en utilisant une loupe à main, au grossissement X 7. Toutefois, il est plus aisé, pour le praticien ainsi que pour le patient, de recourir à l’utilisation d’une lampe à fente, telle celle utilisée par les ophtalmologistes, qui en plus de concéder à un examen plus ‘’confortable’’, permettent plusieurs grossissements, rendant l’observation plus rigoureuse, peaufinant le détail.. et donc un bilan irien, plus complet!
Il est à savoir que l’iridologue, n’examinera pas le fond de l’œil, cette spécialité est réservée aux Ophtalmologistes, et nuls praticiens de médecines naturelles ne s’enquièrent de ces informations. En contrepartie, il nous ait possible d’examiner les éléments constituants l’iris et ses annexes. En ce sens, l’observation de la pupille (dimension, position, réaction), de l’iris (pigmentations, altérations, dépôts), de la scléro-conjonctive (coloration, vascularisation, amas) nous révèlent assez d’informations pour établir précisément l’état physio-pathologique du patient.
L’examen Iridologique, étant non invasif, s’adresse à tous…. À partir de 3 ans! En fait, considérant que la coloration définitive des iris chez le bébé est achevée vers l’âge de 12 mois, il serait théoriquement possible de proposer un examen en Iridologie à un enfant âgé d’un an et plus… Toutefois, soyons honnête, rare sont les bambins de moins de 3 ans qui réussissent, soit à rester ‘’immobiles’’, soit à garder les yeux ouverts lorsqu’une lumière, même faible, est utilisée. Attendons, donc, les 3 ans du petit d’Homme, afin de travailler aisément tout en réalisant un examen irien fiable!
L’iris in utéro, est formé de deux parties embryologiquement distinctes : mésodermique et ectodermique. Comme les dermatoglyphes, dessins digitaux et palmaires, les signes iriens inscrits dans la structure de l’iris, sont propres à chaque individu, achevées chez le fœtus, ils sont une signature unique permettant une reconnaissance individuelle. En ce sens, en Iridologie, il est possible de révéler les ”empreintes génétiques” d’organes faibles, en observant l’iris et ses annexes. En effet, dans le concept d’une projection somatotopique, l’Iridologue, formé à la reconnaissance de ces informations, utilisera une grille irienne spécifique, ou seront présentés secteur par secteur, à la manière d’un quadrant horaire, chaque systèmes, organes, glandes, séreuses, canaux, etc, à la recherche d’éléments, de stigmates, de signes (couleurs, taches, lacunes) lui permettant de définir ou se trouvent les fragilités d’organes sous-jacents, les déficiences ou insuffisances viscérales, les dysfonctionnements métaboliques…Mais aussi comment ces faiblesses s’organisent dans leurs évolution possible…
IMPORTANT À savoir toutefois, que les prédispositions ne sont pas des maladies et qu’il est possible que ces dernières n’apparaissent que très tardivement, voire jamais!
Un grand merci à Natacha Hammond Lacroix qui nous a donné quelques informations sur son activité de naturopathe et d’iridologue. Si vous avez aimé cet article et que vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à faire un tour sur son site liridologue.com !